Photo Olivier Tostain
- Le Mitaraka (681 m).
Assis sur la frontière brésilienne, ce massif est constitué de plusieurs inselbergs disposés en arc de cercle autour de l’une des sources des affluents du haut Rio Mapaoni. C’est l'unique site guyanais où fût observé un petit toucan, Aulacorhynchus whitelianus. Cet oiseau est habituellement inféodé aux reliefs tabulaires du sud-est vénézuélien, du sud du Guyana, et du centre du Suriname.
13 septembre 2008
Photo Olivier Tostain
- Le Mitaraka (681 m).
Assis sur la frontière brésilienne, ce massif est constitué de plusieurs inselbergs disposés en arc de cercle autour de l’une des sources des affluents du haut Rio Mapaoni. C’est l'unique site guyanais où fût observé un petit toucan, Aulacorhynchus whitelianus. Cet oiseau est habituellement inféodé aux reliefs tabulaires du sud-est vénézuélien, du sud du Guyana, et du centre du Suriname.
13 septembre 2008
Photo Olivier Tostain
- Mamilipann (404 m).
À la limite des bassins versants du haut Maroni (Crique éponyme, affluent du Litany) et du Marouini (Crique Koutou), ce promontoire finement cannelé sur ses falaises les plus abruptes est sûrement l’un des inselbergs les plus majestueux du grand sud. Son riche passé humain en fait aussi un lieu hors du commun : c’est en effet à l’abri de cette longue anfractuosité sur son appui sud que furent décrites les uniques peintures rupestres amérindiennes de Guyane. 13 septembre 2008
Photo Olivier Tostain
- Mamilipann (404 m).
À la limite des bassins versants du haut Maroni (Crique éponyme, affluent du Litany) et du Marouini (Crique Koutou), ce promontoire finement cannelé sur ses falaises les plus abruptes est sûrement l’un des inselbergs les plus majestueux du grand sud. Son riche passé humain en fait aussi un lieu hors du commun : c’est en effet à l’abri de cette longue anfractuosité sur son appui sud que furent décrites les uniques peintures rupestres amérindiennes de Guyane. 13 septembre 2008
Photo Olivier Tostain.
- onts Barruol, Page suivante en bas. Entre les bassins de la Mana et de la Koursibo, ces reliefs particulièrement accidentés s’illustrent par des formes tourmentées. Ici, une multitude de savanes-roches s’accrochent sur des pentes souvent très raides, habillant des successions de monts encore inconnus des naturalistes. 4 avril 2008
Photo Guillaume Longin- PAG
- Pic Coudreau du sud (632 m).
À ne pas confondre avec son homonyme, le Pic Coudreau des monts Bakkra situé bien plus au nord, ce relief tailladé d’une profonde crevasse, marque fièrement les sources du Marouini. Février 2013.
Photo Guillaume Feuillet- PAG.
- Pic Coudreau du sud (632 m).
À ne pas confondre avec son homonyme, le Pic Coudreau des monts Bakkra situé bien plus au nord, ce relief tailladé d’une profonde crevasse, marque fièrement les sources du Marouini. Octobre 2012
Photo Olivier Tostain
- Roche Koutou (361 m). Page suivante en haut.
Symbole de la vaste plaine du bas Marouini, cette roche est spectaculaire par l’ampleur de ses faces dénudées. Presque isolé au cœur d’un immense moutonnement forestier, ce relief symbolise à lui tout seul l’idée qu’on peut se faire d’un inselberg, puissante masse tellurique et témoin d’un lointain passé géologique. 13 septembre 2008
Photo Olivier Tostain
- Tchoukouchipann (639 m).
Trônant au cœur des Tumuc-Humac, entre les Mitaraka à l’ouest et le Sommet en cloche à l’est, cet inselberg se distingue de tous les autres en Guyane par ses contours rugueux évoquant une sculpture monumentale mal dégrossie. Ses falaises massives semblent taillées à la serpe, profondément marquées de failles longitudinales et de coups de gouge.
13 septembre 2008
Photo Olivier Tostain
- Tchoukouchipann (639 m).
Trônant au cœur des Tumuc-Humac, entre les Mitaraka à l’ouest et le Sommet en cloche à l’est, cet inselberg se distingue de tous les autres en Guyane par ses contours rugueux évoquant une sculpture monumentale mal dégrossie. Ses falaises massives semblent taillées à la serpe, profondément marquées de failles longitudinales et de coups de gouge.
13 septembre 2008